Faites passer votre projet au niveau supérieur avec notre expertise. Parlez à un conseiller dès aujourd'hui.

Fiscalité des PME : anticiper les échéances fiscales de l’année 2025

Entre déclarations obligatoires, nouveaux dispositifs et sanctions en cas d’oubli, l’année 2025 s’annonce dense pour les PME sur le plan fiscal. Ce guide pratique vous aide à anticiper les échéances clés, intégrer les nouveautés réglementaires et mettre en place une stratégie sereine et performante avec l’appui d’un expert.
Fiscalité des PME

Table des matières

Partager

Chaque année, les PME doivent composer avec un calendrier fiscal dense, rempli d’échéances incontournables qui rythment leur gestion financière. 2025 ne fera pas exception, avec des délais stricts à respecter, des déclarations obligatoires et des nouveautés fiscales à anticiper.

Manquer une échéance, c’est risquer des pénalités, des majorations d’impôts ou encore des contrôles fiscaux imprévus. Mais avec une planification efficace et une stratégie optimisée, il est possible de transformer la gestion fiscale en véritable levier de performance.

Dans cet article, nous passons en revue les principales échéances fiscales de 2025, les nouveautés qui impacteront les PME et les bonnes pratiques à adopter pour une fiscalité maîtrisée et sans mauvaises surprises.

Les principales échéances fiscales de 2025 pour les PME

Dates clés à retenir

Voici les principales dates à connaître concernant les nouveautés fiscales de 2025 pour les PME :

De janvier à juin :

  • 15 janvier : Déclaration annuelle de la taxe sur les salaires : Les entreprises versant des salaires compris entre 1 200 € et 3 999 € doivent déposer leur déclaration annuelle de taxe sur les salaires à cette date.
  • 15 mars : Premier acompte de l’impôt sur les sociétés (IS) : Les sociétés soumises à l’IS doivent verser leur premier acompte trimestriel. Une planification adéquate est cruciale pour éviter les pénalités de retard.
  • 3 mai : Dépôt de la liasse fiscale et de la déclaration de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) : Cette date marque la limite pour le dépôt de la liasse fiscale pour les entreprises à l’IS et la déclaration de la CVAE pour celles dont le chiffre d’affaires dépasse 152 500 €.
  • 1er jour ouvré 15 jours après le 3 mai – Liasse fiscale (télédéclaration) – Toutes entreprises
  • 15 juin : Deuxième acompte de l’IS et premier acompte de la CVAE : Les sociétés doivent s’acquitter du deuxième acompte de l’IS. De plus, si la CVAE due dépasse 1 500 €, un premier acompte de 50 % est exigé.

De juillet à décembre :

  • 25 juillet : Premier acompte de TVA pour le régime simplifié : Les entreprises relevant du régime simplifié doivent verser un acompte de 55 % de la TVA due au titre de l’année précédente.
  • 15 septembre : Troisième acompte de l’IS et second acompte de la CVAE : Le troisième acompte de l’IS est dû, ainsi que le second acompte de 50 % de la CVAE pour les entreprises concernées.
  • 15 décembre : Quatrième acompte de l’IS et paiement de la cotisation foncière des entreprises (CFE) : Les sociétés doivent verser le dernier acompte de l’IS et s’acquitter de la CFE.
  • 24 décembre : Deuxième acompte de TVA pour le régime simplifié : Un acompte de 40 % de la TVA due au titre de l’année précédente doit être versé par les entreprises relevant du régime simplifié.

Modalités de déclaration et de paiement

Toutes les entreprises doivent télédéclarer et télé payer leurs impôts via le portail des impôts professionnels. Toute erreur, retard ou omission expose à des sanctions.

  • Télédéclaration obligatoire : Les documents fiscaux doivent être soumis en ligne sur le site officiel de l’administration fiscale.
  • Télépaiement impératif : Depuis plusieurs années, les paiements par chèque ne sont plus acceptés. Un virement en ligne est requis.
  • Sanctions en cas de retard : Une pénalité de 10 % du montant dû s’applique immédiatement, et des intérêts de retard de 0,20 % par mois peuvent être facturés.

Les nouveautés fiscales de 2025 impactant les PME

nouveautés fiscales de 2025 impactant les PME

Modifications des taux d’imposition

En 2025, le taux normal de l’IS pourrait être réajusté dans un contexte de réforme budgétaire. Actuellement fixé à 25 %, il pourrait subir des ajustements en fonction des nouvelles orientations fiscales du gouvernement. Les entreprises générant un chiffre d’affaires inférieur à 50 millions d’euros pourraient bénéficier d’un taux réduit d’IS qui pourrait passer de 25 % à 22 % d’ici la fin de l’année. Cette réforme s’inscrit dans une volonté de rendre le régime fiscal français plus compétitif à l’échelle européenne.

Introduction de nouvelles taxes ou contributions

Il faut savoir que de nouvelles taxes et contributions ont vu le jour en 2025, à savoir :

  • Une contribution exceptionnelle sur les grandes entreprises est en discussion, visant à taxer davantage les bénéfices des sociétés dépassant un certain seuil de CA.
  • Des taxes environnementales renforcées, notamment sur les entreprises polluantes, sont prévues pour financer la transition écologique.

Suppression ou réduction de certaines niches fiscales

Certains dispositifs d’exonération fiscale pourraient être revus à la baisse, notamment les crédits d’impôt pour certaines activités spécifiques ou les allégements liés à l’investissement dans certaines zones géographiques. Cette révision vise à rationaliser les dépenses fiscales et à assurer une équité fiscale entre les contribuables.

Les obligations déclaratives spécifiques en 2025

Obligations déclaratives spécifiques en 2025

Directive CSRD : nouvelles obligations de reporting de durabilité

La Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD), adoptée par l’Union européenne, vise à renforcer la transparence des entreprises en matière de durabilité. Cette directive impose aux entreprises de publier des informations détaillées sur leurs performances environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).

Il faut savoir que la CSRD s’applique progressivement selon la taille et le type d’entreprises :

  • 1er janvier 2024 : Entreprises déjà soumises à la directive sur la publication d’informations non financières, c’est-à-dire celles remplissant deux des critères suivants : plus de 500 salariés, plus de 50 millions d’euros de chiffre d’affaires, plus de 25 millions d’euros de total de bilan.
  • 1er janvier 2025 : Extension aux entreprises remplissant deux des critères suivants : plus de 250 salariés, plus de 50 millions d’euros de chiffre d’affaires, plus de 25 millions d’euros de total de bilan.
  • 1er janvier 2026 : Inclusion des PME cotées en bourse, à l’exception des micro-entreprises.

S’agissant cette fois-ci du contenu des rapports de durabilité, les entreprises devront fournir des informations sur :

  • Leur modèle d’affaires et leur stratégie : Comment intègrent-elles les questions de durabilité ?Les politiques mises en place : Quelles mesures sont adoptées pour gérer les risques ESG ?
  • Les résultats obtenus : Quels sont les indicateurs clés de performance en matière de durabilité ?

Déclaration des dispositifs transfrontières (DAC6)

La directive DAC6 impose aux entreprises de déclarer certains dispositifs fiscaux transfrontaliers potentiellement agressifs. L’objectif est de renforcer la transparence fiscale et de lutter contre l’évasion fiscale au sein de l’Union européenne.

Attention, les entreprises doivent signaler aux autorités fiscales les dispositifs transfrontaliers présentant au moins un des marqueurs définis par la directive, tels que :

  • Clauses de confidentialité : Interdisant aux contribuables de divulguer comment le dispositif pourrait procurer un avantage fiscal.
  • Rémunération liée à l’obtention d’un avantage fiscal : Lorsque la rémunération de l’intermédiaire dépend du montant de l’avantage fiscal obtenu.
  • Standardisation du dispositif : Lorsqu’un montage est commercialisé sans être adapté de manière substantielle aux besoins spécifiques d’un client.

Les dispositifs doivent être déclarés dans un délai de 30 jours à compter de leur mise à disposition, de leur préparation en vue de leur mise en œuvre ou de leur première étape d’exécution.

Attention, le non-respect des obligations de déclaration peut entraîner des sanctions financières significatives, variant selon les États membres, mais pouvant atteindre plusieurs dizaines de milliers d’euros.

Les bonnes pratiques pour anticiper et gérer les échéances fiscales

Anticiper et gérer les échéances fiscales

Mettre en place un calendrier fiscal interne pour être à jour sur les nouveautés fiscales

Les échéances fiscales arrivent vite… et elles n’attendent pas ! Chaque retard peut déclencher des pénalités salées, des intérêts de retard et un stress inutile. La solution ? Un calendrier fiscal béton.

Voici ce que vous devez faire dès maintenant :

  • Recensez toutes vos échéances : IS, TVA, CVAE, acomptes, déclarations spécifiques… Chaque date doit être notée.
  • Anticipez les périodes de rush : Déposez vos déclarations en avance pour éviter les bugs de dernière minute sur les plateformes fiscales.
  • Automatisez les rappels : Un bon logiciel comptable ou un outil de gestion intégré vous évitera les oublis fatals.

Un calendrier bien structuré, c’est moins de stress, une trésorerie mieux gérée et zéro surprise fiscale désagréable.

Former et sensibiliser les équipes comptables

La fiscalité change chaque année et 2025 ne fera pas exception. Si votre équipe n’est pas formée, vous prenez un risque énorme. Une simple erreur peut vous coûter des milliers d’euros en redressements ou corrections.

Vous pouvez notamment mettre en place :

  • Des sessions de formation régulières : Vos comptables et financiers doivent être à jour sur les nouvelles obligations (CSRD, DAC6, etc.).
  • Un suivi des évolutions fiscales : Inscrivez-vous aux alertes fiscales, suivez les webinaires et échangez avec des experts.
  • Un référent fiscal interne : Une personne en charge de la veille et de la coordination pour ne jamais être pris au dépourvu.

Vous l’aurez compris, il faut miser sur la montée en compétences : une équipe bien formée, c’est une entreprise qui évite les mauvaises surprises fiscales.

Faire appel à un expert-comptable ou un conseiller fiscal

Vous pensez pouvoir tout gérer seul ? Mauvaise idée. Même les plus grandes entreprises s’appuient sur des experts pour sécuriser leur fiscalité. Pourquoi ? Parce que les règles sont complexes, les erreurs coûteuses et les opportunités fiscales nombreuses.

Le fait d’externaliser votre gestion fiscale est ainsi très avantageuse pour pouvoir :

  • Éviter les erreurs très coûteuses : Un expert-comptable connaît les pièges et vous aide à rester dans les clous.
  • Optimiser votre fiscalité : Crédit d’impôt, exonérations, amortissements… Un bon conseil peut vous faire économiser gros.
  • Gagner du temps : Moins de paperasse, plus de temps pour développer votre activité.

Un bon expert-comptable, c’est donc ni plus ni moins qu’un investissement qui rapporte. Faites-vous accompagner et transformez votre fiscalité en levier de croissance !

Contactez-nous dès maintenant pour obtenir des conseils personnalisés ! 

Les conséquences d’un manquement aux obligations fiscales

Manquer une échéance fiscale, c’est comme jouer avec le feu : une petite erreur peut rapidement se transformer en un véritable brasier. Les conséquences peuvent être financières, juridiques et même nuire à votre image de marque. Pourtant, chaque année, des milliers de PME se retrouvent en difficulté simplement parce qu’elles n’ont pas anticipé leurs obligations fiscales.

Voici ce qui vous attend si vous laissez votre fiscalité au second plan… et comment éviter ces pièges.

Sanctions financières : un coût qui peut exploser

Les impôts ne pardonnent pas. Un retard de déclaration ou de paiement entraîne immédiatement des pénalités, et plus l’erreur traîne, plus l’addition devient salée.

Voici ce que vous risquez concrètement :

  • majoration de 10% pour retard de paiement, pouvant être portée à 40% en cas de non-régularisation dans les 30 jours suivant mise en demeure. Des intérêts de retard de 0,2% par mois s’ajoutent à ces pénalités, et le risque d’une majoration de 80% existe en cas de manœuvres frauduleuses
  • Pénalités pouvant grimper à 40 % si l’administration considère qu’il y a une mauvaise foi ou une négligence avérée, ou en cas de non-régularisation dans les 30 jours suivant une mise en demeure.
  • Intérêts de retard à hauteur de 0,20 % par mois sur le montant dû,
  • Amendes fixes en cas d’omission de certaines déclarations (TVA, IS, CVAE…).

Et si vous êtes dans l’oubli total ? L’administration fiscale peut procéder à une taxation d’office, c’est-à-dire vous imposer un montant calculé sans possibilité de discussion. Une situation qui peut mettre en péril la trésorerie de votre entreprise du jour au lendemain.

Moralité : mieux vaut anticiper que payer le prix fort.

Risques juridiques : de la simple erreur au contrôle fiscal

Une simple erreur peut parfois avoir des conséquences bien plus graves qu’une simple amende. L’administration fiscale est intransigeante et, si elle soupçonne une fraude ou une dissimulation, elle peut aller jusqu’à déclencher une enquête plus approfondie.

Si vous ne savez pas vraiment ce qui peut vous arriver, voici un résumé :

  • Un redressement fiscal : Si l’administration détecte des anomalies, elle peut exiger des corrections, avec des rappels d’impôts qui peuvent atteindre des dizaines de milliers d’euros.
  • Un contrôle fiscal : Si certaines irrégularités sont repérées, vous risquez un contrôle approfondi, qui peut paralyser votre entreprise pendant des semaines.
  • Des poursuites pénales : En cas de fraude fiscale avérée, les sanctions peuvent aller jusqu’à 500 000 € d’amende et 5 ans de prison pour les dirigeants !

Ne prenez pas de risques inutiles. Même une erreur involontaire peut faire basculer votre entreprise dans un cauchemar administratif et juridique.

Impact sur la réputation de l’entreprise : une confiance qui peut s’effondrer

Une mauvaise gestion fiscale ne concerne pas seulement les finances et la loi, elle peut aussi ébranler votre image et nuire à la confiance de vos partenaires.

Les risques pour votre réputation ne doivent surtout pas être sous-estimés :

  • Les banques et investisseurs fuient les entreprises mal gérées fiscalement. Un redressement fiscal peut compliquer l’accès aux crédits ou financements,
  • Les fournisseurs et partenaires commerciaux hésitent à travailler avec des entreprises en difficulté,
  • Votre crédibilité auprès des clients peut en pâtir. Imaginez qu’une rumeur de fraude ou de contrôle fiscal entoure votre entreprise… la confiance s’effrite et les ventes chutent.

Gardez à l’esprit que votre réputation reste votre principal atout !

Comment ADVYSE peut accompagner votre PME en 2025

Services proposés : une gestion fiscale simplifiée et optimisée

  • Gestion des obligations déclaratives : 
    • Suivi et dépôt de toutes vos déclarations fiscales (IS, TVA, CVAE, CFE…).
    • Respect des échéances pour éviter les pénalités et intérêts de retard.
  • Optimisation fiscale sur-mesure : 
    • Identification des dispositifs d’exonération ou de crédits d’impôt adaptés à votre activité.
    • Optimisation du taux d’imposition et de la gestion de trésorerie.
  • Accompagnement en cas de contrôle fiscal : 
    • Préparation et sécurisation des documents comptables.
    • Assistance et représentation face à l’administration fiscale.
  • Formation et sensibilisation de vos équipes : 
    • Séances personnalisées pour améliorer la compréhension des obligations fiscales.
    • Veille permanente sur les évolutions réglementaires pour garantir une gestion proactive.

C’est simple, avec ADVYSE, la maîtrise de votre fiscalité devient un jeu d’enfant.

Bénéfices d’un accompagnement personnalisé

Faire appel à ADVYSE, c’est ni plus ni moins qu’un véritable levier de sérénité et de croissance pour votre PME.

Ce que vous gagnez avec nous, c’est surtout :

  • Zéro stress fiscal : Finis les oublis, erreurs et pénalités qui plombent votre trésorerie.
  • Un maximum d’économies : Nous optimisons votre fiscalité pour réduire au maximum votre charge fiscale.
  • Un gain de temps considérable : Vous vous concentrez sur votre activité pendant qu’on s’occupe des chiffres.
  • Un pilotage financier intelligent : Grâce à nos conseils stratégiques, votre fiscalité devient un outil de gestion et non plus une contrainte.

Besoin d’un accompagnement fiscal sur-mesure ? Contactez ADVYSE dès aujourd’hui et mettez votre PME à l’abri des risques tout en optimisant votre fiscalité !

Votre partenaire pour une fiscalité simplifiée

Advyse propose une expertise complète en gestion de la fiscalité des entreprises. Notre accompagnement couvre tous les aspects fiscaux, des déclarations fiscales à l’optimisation des charges fiscales. Notre équipe d’experts fiscaux vous fournit des conseils stratégiques et des solutions sur mesure.

Articles pour vous guider
dans vos décisions stratégiques

Explorez notre sélection d’articles rédigés par nos experts pour vous aider à prendre les meilleures décisions en matière de gestion, de fiscalité, et de stratégie d’entreprise. Nos contenus sont conçus pour répondre aux questions que vous vous posez et vous offrir des conseils pratiques et directement applicables.

avantages en nature bilan fiscal
Publié le 7 novembre 2025

L’impact des avantages en nature sur votre bilan fiscal

La bonne gestion des avantages en nature repose sur une approche fiscale et sociale rigoureuse. Évaluation juste, traçabilité des usages, choix de la bonne méthode de valorisation et cohérence comptable sont autant de leviers pour transformer un risque de redressement en atout de pilotage. L’analyse montre comment une entreprise, en combinant contrôle interne, barèmes URSSAF adaptés, documentation fiable et suivi régulier des déclarations fiscales, peut sécuriser sa conformité, optimiser sa charge fiscale et renforcer la performance globale de sa gestion sociale.
déclaration fiscales
Publié le 3 novembre 2025

Dernière ligne droite : vérifier les déclarations fiscales à temps

La vérification déclaration fiscale devient incontournable à l’approche de décembre, quand chaque erreur peut peser lourd sur votre clôture 2025. Les obligations s’accumulent avec la TVA, IS, CFE, CVAE et la moindre incohérence attire désormais l’œil des algorithmes fiscaux. Passez en revue vos formulaires, vos régularisations de TVA, vos acomptes et vos exonérations pour éviter pénalités et redressements. Contrôlez la cohérence entre vos écritures comptables, vos déclarations et vos justificatifs. En anticipant dès maintenant, vous sécurisez vos chiffres, vos délais et la sérénité de votre exercice à venir.
optimisation gestion tva fin d’année
Publié le 28 octobre 2025

Optimiser votre gestion de TVA avant la fin de l’année

La TVA devient critique en fin d’année car chaque erreur de déclaration peut coûter cher tandis que les contrôles se durcissent et que la facturation électronique approche. Vérifiez que votre régime de franchise simplifié ou normal reste adapté et anticipez un éventuel changement pour optimiser votre trésorerie et vos récupérations. Passez au crible la TVA collectée en contrôlant l’exigibilité des factures non encaissées et des avoirs puis rapprochez vos encaissements bancaires. N’oubliez pas la TVA déductible en validant la conformité des factures ainsi que les immobilisations et notes de frais correctement justifiées. Surveillez vos seuils, sécurisez vos opérations intracommunautaires et export et réconciliez comptabilité et déclarations avant la clôture.